Loneliness in medicine is a serious problem not just for patients, for whom illness is intrinsically isolating, but also for physicians in the contemporary condition of medicine. We explore this problem by investigating the ideal physician-patient relationship, whose analogy with friendship has held enduring normative appeal. Drawing from Talbot Brewer and Nir Ben-Moshe, we argue that this appeal lies in a dynamic form of companionship incompatible with static models of friendship-like physician-patient relationships: a mutual refinement of embodied virtue that (...) draws both persons together. The ideal physician-patient relationship has a dialectical character that fosters each member's improvement of phenomenologically recognizing and embodying moral virtues. A key component of this dynamic is a commitment to the common goal of the patient's health, realized through joint interactivities and conversations over time. The physician's presence to the patient's suffering—understood best as an alienating phenomenological condition for the patient—orients and discloses possibilities for virtuous caregiving by structuring the meanings of the goals, conversations, and joint narrative constitutive of their relationship. Presence to suffering, paradoxically, is perhaps an important prerequisite for this dynamic partnership. These activities dialectically build an interpretive horizon of understanding through which moral goods and character refinement—in and for the other—may become revealed for both persons in their shared being-in-the-world. This analysis of suffering, mood, and revealing of (possible) moral goods has implications for addressing the modern problem of loneliness for patients and physicians, who are increasingly inhibited from building flourishing relationships with each other. (shrink)

La présentation qui suit traite de la Colombeia - legs extrêmement riche que nous devons à Francisco de Miranda - et de l’impact qu’a pu avoir à son époque la diffusion des quatre versions connues du “Plan de gouvernance pour une Amérique colombienne” élaboré par Francisco de Miranda (Caracas, 1750- Cadix, 1816) et publié tout au long de son engagement politique pour l’indépendance de l’Amérique Hispanique. Malgré les deux occasions manquées de 1801 et 1806, quand il fit la tentative de (...) mettre en partie en place son “Plan de Gouvernance”, l’on sait que celui-ci n’a jamais réellement été adopté en tant que modèle et pour une organisation politique du nouvel ordre de l’Amérique latine postcoloniale (que ce soit dans les anciennes colonies espagnoles ou au Brésil). Pourtant, il serait pertinent de se demander si le dit “Plan de gouvernance” a été pris en compte par ceux qui à l’époque prirent les décisions politiques des nouveaux états américains tout au long du processus d’émancipation et de formation constitutionnelle des pays hispano-américains. La proposition politique de Miranda prévoyait en même temps le démantèlement de l’État monarchique hispano américain et l’appropriation de quelques notions appartenant à l’empire des Incas. Il apparaît donc essentiel de savoir si dans le reste du continent hispano américain d’autres projets pré-constitutionnels comme celui proposé par le “Précurseur ”avaient été élaborés. Dans l’affirmative, il faudrait alors se demander s’il a existé un lien ou une parenté idéologique entre Miranda et ceux qui, à l’époque ou plus tard, ont élaboré de tels projets Constitutionnels pour un nouveau modèle de gouvernement en l’Amérique Latine . (shrink)

Dans cette étude nous nous proposons d’étudier la présence du Christ dans l’Eucharistie dans une perspective métaphysique et ontologique. Dans les deux premières sections nous définirons et montrerons qu’il faut distinguer: le problème de l’Eucharistie et la question fondamentale de l’Eucharistie. Nous défendrons la thèse selon laquelle le problème de l’Eucharistie en est vraiment un seulement pour ceux qui acceptent l’ontologie de l’aristotélisme, plus précisément celle de la transsubstantiation. Or, nous montrerons que l’ontologie de la transsubstantiation suppose des problèmes théoriques (...) insurmontables et nous suggérerons que nous devons nous intéresser plutôt à la question fondamentale de l’Eucharistie. Afin de montrer qu’il est possible de donner une réponse à la question fondamentale de l’Eucharistie, nous esquisserons une solution à partir d’une ontologie des tropes. (shrink)

Antti Kauppinen Les philosophes se sont efforcés de montrer que nous devons être vertueux pour être heureux. Mais tant que nous nous en tenons à la compréhension moderne du bonheur comme quelque chose de vécu par un sujet – et je soutiens contre les eudaimonistes contemporains que nous devrions effectivement le faire – il peut au mieux exister un lien de causalité contingent entre la vertu et le bonheur. Néanmoins, nous avons de bonnes raisons de penser qu’être vertueux est non (...) accidentellement propice au bonheur. Pourquoi? Premièrement, le bonheur est, sommairement, la condition expérientielle de jouir d’états phénoménaux affectifs principalement positifs concernant des choses qui sont subjectivement importantes pour nous. Je soutiens que ce sentimentalisme à propos du bonheur a plusieurs avantages par rapport à la conception de Daniel Haybron comme état émotionnel. Deuxièmement, dans la mesure où nous sommes vertueux, nous pouvons identifier correctement ce qui vaut la peine d’être fait dans notre situation particulière et nous la poursuivrons habilement. En même temps, nous ne sommes pas dérangés par des choses qui ne valent pas la peine d’être prises en charge ou de s’inquiéter. Par conséquent, les personnes vertueuses sont susceptibles de profiter d’émotions positives centrales liées au succès et à l’approbation des autres, et d’éviter les émotions négatives communes liées à la comparaison sociale ou à l’avarice. Bien que leur bonheur soit encore en partie une question de chance, il l’est dans une moindre mesure que pour le reste d’entre nous. (shrink)

La première chose que nous devons garder à l'esprit est que lorsque vous dites que la Chine dit ceci ou la Chine fait cela, nous ne parlons pas du peuple chinois, mais des sociopathes qui contrôlent le PCC -- Parti communiste chinois, c'est-à-dire les sept tueurs en série sociopathiques séniles (SSSSK) de l'E e Comité permanent du PCC ou des 25 membres du Politburo, etc. -/- Les plans du PCC pour la Troiseme Guerre mondiale et la domination totale sont énoncés (...) très clairement dans les publications et les discours du gouvernement chinois et c'est le « rêve chinois » de Xi Jinping. C'est un rêve seulement pour la petite minorité (peut-être quelques dizaines à quelques centaines) qui gouvernent la Chine et un cauchemar pour tout le monde (y compris 1,4 milliard de Chinois). Les 10 milliards de dollars par an leur permettent, eux ou leurs marionnettes, de posséder ou de contrôler des journaux, des magazines, des chaînes de télévision et de radio et de placer des fausses nouvelles dans la plupart des grands médias partout chaque jour. En outre, ils ont une armée (peut-être des millions de personnes) qui troll tous les médias plaçant plus de propagande et de noyer les commentaires légitimes (l'armée de 50 cents). -/- En plus de dépouiller le 3e monde des ressources, l'une des grandes orientations de l'initiative Belt and Road, qui s'est portée à plusieurs milliards de dollars, consiste à construire des bases militaires dans le monde entier. Ils forcent le monde libre dans une course aux armements massive de haute technologie qui fait de la guerre froide avec l'Union soviétique ressembler à un pique-nique. -/- Bien que le SSSSK, et le reste de l'armée du monde, dépensent d'énormes sommes sur le matériel de pointe, il est très probable que WW3 (ou les petits engagements qui y ont précédé) sera dominé par le logiciel. Il n'est pas hors de question que le SSSSK, avec probablement plus de pirates (codeurs) travaillant pour eux, puis tout le reste du monde combiné, va gagner de futures guerres avec un conflit physique minimal, juste en paralysant leurs ennemis via le net. Pas de satellites, pas de téléphones, pas de communications, pas de transactions financières, pas de réseau électrique, pas d'Internet, pas d'armes avancées, pas de véhicules, trains, navires ou avions. -/- Il n'y a que deux voies principales à enlever le CCP, libérant 1,4 milliard de prisonniers chinois, et mettant fin à la marche folle à WW3. Le pacifique est de lancer une guerre commerciale tous adhérences pour dévaster l'économie chinoise jusqu'à ce que l'armée en ait marre et démarre le PCC. -/- Une alternative à la fermeture de l'économie de la Chine est une guerre limitée, comme une frappe ciblée par dire 50 drones thermobares sur le 20e Congrès du PCC, lorsque tous les membres supérieurs sont en un seul endroit, mais qui n'aura pas lieu jusqu'en 2022 afin on pourrait frapper à la réunion plénière annuelle. Les Chinois seraient informés, au fur et à mesure de l'attaque, qu'ils devaient déposer les armes et se préparer à tenir des élections démocratiques ou à être nuked dans l'âge de pierre. L'autre alternative est une attaque nucléaire tous adhérences. La confrontation militaire est inévitable compte tenu de la trajectoire actuelle du PCC. Il se produira probablement au-dessus des îles dans la mer de Chine méridionale ou à Taïwan dans quelques décennies, mais pendant qu'ils établissent des bases militaires dans le monde entier il pourrait se produire n'importe où (voir Tigre accroupi etc.). Les conflits futurs auront des aspects de hardkill et de softkill avec les objectifs déclarés du CCP pour souligner la cyberguerre en piratant et paralysant des systèmes de commande de toutes les communications militaires et industrielles, équipements, centrales électriques, satellites, internet, banques, et tout appareil ou véhicule connecté au réseau. Les SS sont lentement sur le terrain d'un éventail mondial de sous-marins de surface et autonomes habités et autonomes ou des drones capables de lancer des armes conventionnelles ou nucléaires qui peuvent rester en sommeil en attendant un signal de la Chine ou même à la recherche de la signature de navires ou d'avions américains. Tout en détruisant nos satellites, éliminant ainsi la communication entre les États-Unis et nos forces dans le monde entier, ils utiliseront les leurs, en conjonction avec des drones pour cibler et détruire nos forces navales actuellement supérieures. Bien sûr, tout cela est de plus en plus fait automatiquement par l'IA. (shrink)

Les recherches menées dans le champ de la psychologie morale par Larry P. Nucci et Elliot Turiel conduisent à identifier le domaine moral avec le domaine des jugements prescriptifs concernant la manière dont nous devons nous comporter à l’égard des autres personnes. Ces travaux empiriques pourraient apporter du crédit aux propositions normatives du philosophe Ruwen Ogien qui défend une conception minimaliste de l’éthique. L’éthique minimale exclut en particulier le rapport à soi du domaine moral. À mon avis cependant, ces travaux (...) de psychologie morale ne permettent pas du tout d’affirmer que nous sommes, empiriquement parlant, des minimalistes moraux. Les résultats des recherches de Nucci et Turiel montrent que les personnes considèrent intuitivement que le domaine personnel – le domaine des actions qui affectent prioritairement l’agent lui-même – doit échapper au contrôle ou à l’interférence des autres personnes. Mais affirmer que c’est l’agent lui-même qui possède l’autorité légitime de décider dans le domaine personnel ne signifie pas que tout ce qu’il y fait soit moralement indifférent. (shrink)

Les recherches scientifiques sur la COVID-19 sont à la fois menées et diffusées à une cadence effrénée. Bien qu’il soit inspirant de voir la communauté de la recherche répondre avec autant de vigueur à la crise causée par la pandémie, toute cette activité a par ailleurs engendré un chaos de mauvaises données, de résultats contradictoires et de manchettes exagérées. Alors que la polarisation, la déformation et la médiatisation des résultats scientifiques s’intensifient chaque jour, les inquiétudes se font de plus en (...) plus sentir quant à la perspective que la science pertinente soit présentée au public d’une manière qui puisse causer de la confusion, créer de fausses attentes et éroder la confiance du public. Dans cette note, nous explorons les principaux enjeux associés à la présentation de la science dans le contexte de la pandémie de la COVID-19. Plusieurs de ces enjeux ne sont pas nouveaux. Mais la pandémie de la COVID-19 a braqué les projecteurs sur le processus de la recherche biomédicale et a amplifié les ramifications néfastes des problèmes de communication publique. Nous devons faire mieux. À ce titre, nous conclurons ce rapport en formulant dix recommandations qui s’adressent aux acteurs clés qui interviennent dans la communication de la science sur la COVID-19, notamment les gouvernements, les bailleurs de fonds, les universités, les éditeurs, les médias et les communautés de recherche. (shrink)

Résumé : Les domaines de la philosophie et de la théorie politique ont connu un certain nombre de changements au cours des quarante dernières années. L'un attire notre attention tout particulièrement ; le basculement d'un point de vue national, cristallisé par le contrat social rawlsien, vers un point de vue non-national. En effet, plusieurs penseurs abordent un ensemble de phénomènes considérés comme nouveaux, tels que les traités de libre commerce et l'économie globale, les entreprises et les institutions supra et transnationales, (...) l'immigration et les contrôles frontaliers etc. Ces changements sont intéressants puisqu'ils obéissent, principalement, à une évolution majeure du terrain politique et social que l'on appelle mondialisation. Les théoriciens travaillant dans le domaine de la justice globale semblent s'adresser à deux questions différentes mais reliées. La première concerne la justice globale : dans quelle mesure et pourquoi l'ordre mondial est-il juste ou injuste ? Qu'est-ce qu'un ordre global juste ? La deuxième est dans un sens corollaire à la première, et concerne la responsabilité : qui devrait être blâmé ou digne d'éloge pour l'ordre mondial ? Est-ce que les citoyens sont responsables de l'ordre mondial ? Qui devrait redresser ses éventuelles conséquences injustes ? Face à l'économie mondialisée et aux institutions politiques et économiques internationales et trans-nationales, cette interrogation devient légitime et nécessaire : suis-je responsable à l'égard des travailleurs des sweat shop lorsque j'achète des habits à Auchan ou bien à l'égard des caféiculteurs très mal payés lorsque je prends un capuccino dans un café Starbucks ? Est-ce que les citoyens sont responsables des traités de libre commerce que leurs gouvernements signent ? Ces questions sur la responsabilité des individus dans le contexte de la mondialisation seront l'enjeu de ce travail de recherche. Nous interrogerons plus exactement la responsabilité d'un agent lorsqu'il fait partie d'un chaîne causale complexe, lorsqu'il participe d'une injustice structurelle. Ainsi, il ne s'agit pas seulement d'une chaîne causale, mais de connexions qui sont l'issue d'un changement des modes de productions, de consommation et de la concurrence dans un marché mondialisé. Plus important encore, il ne s'agit pas simplement de la responsabilité individuelle mais plutôt de la responsabilité individuelle en tant que citoyen, et donc d'une responsabilité politique. Elle peut certes être individuelle, mais nous devons tenir compte du fait qu'elle doit être pensée en tant que responsabilité politique, et pas uniquement morale, puisque l'individu et ses actions sont déterminés par des communautés politiques dans lesquelles il participe, ou dans lesquelles il est représenté. Ainsi, la mondialisation nous invite à repenser la responsabilité individuelle pour pouvoir rendre compte des intuitions morales et politiques qui guident une bonne partie du champ de la justice globale. Pour cela, nous verrons dans un premier temps la manière dont les théories de la justice globale essaient de répondre à ce défit. Grâce à cela nous dégagerons l'hypothèse qui nous guidera, l'idée que dans la mondialisation, un agent peut être responsable, avec d'autres, des raisons pour lesquelles il n'est pas considéré comme responsable. C'est-à-dire qu'il sera méta-responsable. Dans un second temps, nous essaierons de déterminer un model de responsabilité individuelle, et de comprendre comment la responsabilité est attribuée. Ensuite, nous essaierons de formuler une manière de concevoir la responsabilité politique. Grâce à ces deux éléments, la responsabilité individuelle et la responsabilité politique, nous pourrons parvenir à formuler une conception de la méta-responsabilité comme forme de penser l'agentivité traversée par la mondialisation. (shrink)

La relativité générale permet les singularités et nous devons comprendre l'ontologie si nous voulons comprendre la nature de l'espace et du temps dans l'univers d'aujourd'hui. Bien que certains physiciens pensent que les singularités indiquent un échec de la relativité générale, d'autres pensent que les singularités ouvrent un nouvel horizon dans la cosmologie, avec de réels phénomènes physiques pouvant contribuer à un progrès profond dans notre compréhension du monde. DOI: 10.13140/RG.2.2.24491.18728 .

À l'aube de la troisième décennie du XXIe siècle, l'existence de l'humanité est devenue hautement périlleuse. Nous abattons nos forêts, épuisons nos aquifères d'eau douce et perdons nos sols vitaux. Nous enlevons la vie de nos océans et la remplaçons par des centaines de millions de tonnes de déchets plastiques. Nous inondons notre environnement de produits chimiques industriels toxiques. Notre pollution est à l'origine du changement climatique qui provoque des vagues de chaleur, des sécheresses et des incendies de forêt qui (...) déchirent le tissu de la vie sur les continents. Et nous mettons au monde de nouvelles générations, des millions qui ont besoin d'accéder aux ressources d'une existence digne. La portée et l'ampleur des menaces à la vie augmentent jour après jour. Ce n'est pas un mode de développement durable. La cause profonde de nos maux provient d'une façon de penser erronée. Qu'est-ce que cela signifie exactement? cela signifie que nous nous considérons principalement comme des êtres matériels, tout en niant notre nature spirituelle. Parce quenous pensons que nous existons en tant qu'êtres matériels et rien de plus, nous accordons la importance à la protection de notre corps contre les dommages et à la prolongation de notre existence matérielle. Notre nature spirituelle, si elle est considérée du tout, est traitée comme un aspect secondaire de notre être physique, quelque chose à ne pas prendre au sérieux. Pour nous, les seules choses qui comptent sont les phénomènes qui apparaissent dans le monde matériel - des choses qui peuvent être vues, ou entendues, ou touchées, ou mesurées, mais nous savons que nos sens nous trompent, les sens sont une construction du cerveau . Ce que nous considérons comme un monde réel est une illusion. La domination de la pensée positiviste et matérialiste conduit à l'irrationalité et à la destruction. Mais où cette approche nous a-t-elle menés ? Cela nous a-t-il apporté un sentiment de bonheur et d'épanouissement ? Plutôt que de vivre chaque jour dans un esprit de coopération joyeuse, avec nos cœurs remplis d'espoir brillant et d'anticipation heureuse, nous avons isolé la -/- TRADUCTION 1 prépublication des Lettres académiques. nous démarquer des autres et les considérait comme des rivaux ou des ennemis. Nos pensées sont inondées de suspicion, de peur et de cupidité, conduisant à un cycle sans fin de guerre, de pauvreté, de famine et de destruction de l'environnement. À moins que nous ne nous réveillions bientôt et que nous ne prêtions attention à notre nature spirituelle, il n'y aura pas d'avenir pour l'humanité sur Terre. Les mots sont la vie. Les mots sont légers. Les mots sont le pouvoir. Les mots sont énergie. Les mots sont la vérité. Les mots peuvent animer et les mots peuvent aussi tuer. Les mots peuvent donner de l'espoir ou nous plonger dans le désespoir. Les gens utilisent des mots pour construire la paix et utilisent des mots pour faire la guerre. Les mots peuvent créer des murs entre les cultures, les religions et les nations. Et les mots peuvent aussi construire des ponts. L'existence d'un individu, d'une famille, d'une communauté, d'un pays et de notre planète est conduite au bien ou au mal par le pouvoir des mots que nous prononçons. Les mots que nous prononçons sont responsables de tout ce qui se passe dans ce monde. Nous devons donc être responsables des paroles que nous prononçons. Au nom des générations futures, j'espère que chacun de nous fera tout ce qui est en son pouvoir pour ne dire que des mots clairs et lumineux, afin qu'un jour, nos descendants naissent dans un monde rempli de lumière. Il n'y a pas de temps à perdre. À partir de ce moment précis, j'espère que nous examinerons tous de près les mots que nous avons utilisés et que nous ferons des efforts constants pour les remplir de luminosité. Personne ne changera nos vies à notre place. Personne ne changera le monde à notre place. Il est temps pour chacun de nous de reconnaître le pouvoir créatif prodigieux qui se dégage de chaque mot que nous prononçons et de ne prononcer consciemment que des mots remplis de gratitude, d'encouragement et de bonnes intentions. À partir de ce moment, choisissons des mots qui résonnent d'amour et de pardon pour nous-mêmes et pour les autres. Nous pouvons certainement le faire si nous ne faisons qu'un pas en avant. Un pas à la fois, un mot à la fois, nous pouvons déraciner les germes de la tragédie et de l'isolement dans notre conscience et les convertir en vagues de bonheur et de réconciliation. Pour nousmêmes, pour la Terre Mère et pour les générations futures, utilisons des mots qui contribuent à l'évolution positive de l'humanité sur Terre. (shrink)

La première chose que nous devons garder à l’esprit est que lorsque nous disons que la Chine dit ceci ou la Chine fait cela, nous ne parlons pas du peuple chinois, mais des sociopathes qui contrôlent le PCC -- Parti communiste chinois, c’est-à-dire, les sept tueurs en série sociopathes seniles (SSSSK) du Comité permanent du PCC ou des 25 membres du Politburo etc. Les plans du PCC pour la Seconde Guerre mondiale et la domination totale sont énoncés très clairement dans (...) les publications et les discours du gouvernement chinois et c’est le « rêve chinois » de Xi Jinping. C’est un rêve seulement pour la petite minorité (peut-être quelques dizaines à quelques centaines) qui gouvernent la Chine et un cauchemar pour tout le monde (y compris 1,4 milliard de Chinois). Les 10 milliards de dollars par an leur permettent, à eux ou à leurs marionnettes, de posséder ou de contrôler des journaux, des magazines, des chaînes de télévision et de radio et de placer des fausses nouvelles dans la plupart des grands médias partout dans le monde chaque jour. En outre, ils ont une armée (peut-être des millions de personnes) qui troll tous les médias de placer plus de propagande et de noyer des commentaires légitimes (l’armée de 50 centimes). En plus de dépouiller le monde des ressources de 3rd, une poussée majeure de l’initiative de des centaines de milliards de dollars Belt and Road est la construction de bases militaires dans le monde entier. Ils forment le monde libre dans une course aux armements massive de haute technologie qui fait la guerre froide avec l’Union soviétique ressembler à un pique-nique. Bien que le SSSSK, et le reste de l’armée mondiale, dépensent des sommes énormes sur le matériel avancé, il est très probable que WW3 (ou les petits engagements qui l’ont précédé) sera dominé par les logiciels. Il n’est pas hors de question que le SSSSK, avec probablement plus de pirates (codeurs) travaillant pour eux, puis tout le reste du monde combiné, va gagner de futures guerres avec un minimum de conflit physique, juste en paralysant leurs ennemis via le net. Pas de satellites, pas de téléphones, pas de communications, pas de transactions financières, pas de réseau électrique, pas d’Internet, pas d’armes de pointe, pas de véhicules, de trains, de navires ou d’avions. Il n’y a que deux voies principales pour enlever le PCC, libérer 1,4 milliard de prisonniers chinois, et mettre fin à la marche lunatique à la Seconde Guerre mondiale. Le pacifique est de lancer une guerre commerciale tous avare pour dévaster l’économie chinoise jusqu’à ce que l’armée en ait marre et démarre le PCC. Une alternative à la fermeture de l’économie chinoise est une guerre limitée, comme une frappe ciblée par dire 50 drones thermobares sur le 20e Congrès du PCC, lorsque tous les membres supérieurs sont en un seul endroit, mais qui n’aura pas lieu avant 2022 afin que l’on puisse frapper la réunion plénière annuelle. Les Chinois seraient informés, au fur et à mesure de l’attaque, qu’ils devaient déposer les armes et se préparer à organiser des élections démocratiques ou à être regroupés dans l’âge de pierre. L’autre alternative est une attaque nucléaire tous anch, une attaque nucléaire. La confrontation militaire est inévitable compte tenu de la voie actuelle du PCC. Il se produira probablement sur les îles de la mer de Chine méridionale ou Taiwan dans quelques décennies, mais comme ils établissent des bases militaires dans le monde entier, il pourrait se produire n’importe où (voir Tigre accroupi, etc.). Les conflits futurs auront des aspects difficiles et souples avec les objectifs déclarés du PCC de mettre l’accent sur la cyberguerre par le piratage et le paralysage des systèmes de contrôle de toutes les communications militaires et industrielles, l’équipement, les centrales électriques, les satellites, Internet, les banques, et tout appareil ou véhicule connecté au net. Les SS sont lentement sur le terrain d’un éventail mondial de sous-marins ou de drones sous-marins habités et autonomes capables de lancer des armes conventionnelles ou nucléaires qui peuvent rester dormants en attendant un signal de la Chine ou même à la recherche de la signature de navires ou d’avions américains. Tout en détruisant nos satellites, éliminant ainsi la communication entre les États-Unis et nos forces dans le monde entier, ils utiliseront les leurs, en conjonction avec des drones pour cibler et détruire nos forces navales actuellement supérieures. Bien sûr, tout cela se fait de plus en plus automatiquement par l’IA. De loin le plus grand allié du PCC est le parti démocrate des États-Unis. Le choix est d’arrêter le PCC maintenant ou regarder comme ils prolongent la prison chinoise sur le monde entier. Ceux qui s’intéressent à d’autres détails sur le chemin fou de la société moderne peuvent consulter mes autres œuvres telles que Suicide by Democracy-an Obituary for America and the World th Edition 2020 et Suicidal Utopian Delusions in the 21st Century: Philosophie, Nature Humaine et l’effondrement de la civilisation 4e ed (2020) . (shrink)

ésumé : Les domaines de la philosophie et de la théorie politique ont connu un certain nombre de changements au cours des quarante dernières années. L'un attire notre attention tout particulièrement ; le basculement d'un point de vue national, cristallisé par le contrat social rawlsien, vers un point de vue non-national. En effet, plusieurs penseurs abordent un ensemble de phénomènes considérés comme nouveaux, tels que les traités de libre commerce et l'économie globale, les entreprises et les institutions supra et transnationales, (...) l'immigration et les contrôles frontaliers etc. Ces changements sont intéressants puisqu'ils obéissent, principalement, à une évolution majeure du terrain politique et social que l'on appelle mondialisation. Les théoriciens travaillant dans le domaine de la justice globale semblent s'adresser à deux questions différentes mais reliées. La première concerne la justice globale : dans quelle mesure et pourquoi l'ordre mondial est-il juste ou injuste ? Qu'est-ce qu'un ordre global juste ? La deuxième est dans un sens corollaire à la première, et concerne la responsabilité : qui devrait être blâmé ou digne d'éloge pour l'ordre mondial ? Est-ce que les citoyens sont responsables de l'ordre mondial ? Qui devrait redresser ses éventuelles conséquences injustes ? Face à l'économie mondialisée et aux institutions politiques et économiques internationales et trans-nationales, cette interrogation devient légitime et nécessaire : suis-je responsable à l'égard des travailleurs des sweat shop lorsque j'achète des habits à Auchan ou bien à l'égard des caféiculteurs très mal payés lorsque je prends un capuccino dans un café Starbucks ? Est-ce que les citoyens sont responsables des traités de libre commerce que leurs gouvernements signent ? Ces questions sur la responsabilité des individus dans le contexte de la mondialisation seront l'enjeu de ce travail de recherche. Nous interrogerons plus exactement la responsabilité d'un agent lorsqu'il fait partie d'un chaîne causale complexe, lorsqu'il participe d'une injustice structurelle. Ainsi, il ne s'agit pas seulement d'une chaîne causale, mais de connexions qui sont l'issue d'un changement des modes de productions, de consommation et de la concurrence dans un marché mondialisé. Plus important encore, il ne s'agit pas simplement de la responsabilité individuelle mais plutôt de la responsabilité individuelle en tant que citoyen, et donc d'une responsabilité politique. Elle peut certes être individuelle, mais nous devons tenir compte du fait qu'elle doit être pensée en tant que responsabilité politique, et pas uniquement morale, puisque l'individu et ses actions sont déterminés par des communautés politiques dans lesquelles il participe, ou dans lesquelles il est représenté. Ainsi, la mondialisation nous invite à repenser la responsabilité individuelle pour pouvoir rendre compte des intuitions morales et politiques qui guident une bonne partie du champ de la justice globale. Pour cela, nous verrons dans un premier temps la manière dont les théories de la justice globale essaient de répondre à ce défit. Grâce à cela nous dégagerons l'hypothèse qui nous guidera, l'idée que dans la mondialisation, un agent peut être responsable, avec d'autres, des raisons pour lesquelles il n'est pas considéré comme responsable. C'est-à-dire qu'il sera méta-responsable. Dans un second temps, nous essaierons de déterminer un model de responsabilité individuelle, et de comprendre comment la responsabilité est attribuée. Ensuite, nous essaierons de formuler une manière de concevoir la responsabilité politique. Grâce à ces deux éléments, la responsabilité individuelle et la responsabilité politique, nous pourrons parvenir à formuler une conception de la méta-responsabilité comme forme de penser l'agentivité traversée par la mondialisation. -/- . (shrink)

It is widely affirmed that human beings have irreplaceable valuable, and that we owe it to them to treat them accordingly. Many theorists have been drawn to Kantianism because they think that it alone can capture this intuition. One aim of this paper is to show that this is a mistake, and that Kantianism cannot provide an independent rational vindication, nor even a fully illuminating articulation, of irreplaceability. A further aim is to outline a broadly Aristotelian view that provides a (...) more fitting theoretical framework for this appealing conception of human value. This critique of Kantianism extends to contemporary theorists with a broadly Kantian orientation, including Christine Korsgaard, Stephen Darwall and John Rawls. The problem with these views, at heart, is that they attempt to ground morality in respect alone. Yet it is love, not respect, that brings irreplaceability into view. The paper closes with a sketch of a virtue-theoretic theory that follows Aquinas in taking love to be a master virtue that refines the other virtues so as to ensure a continuous and practically efficacious sensitivity to the irreplaceable value of fellow human beings. (shrink)

A dialogue arguing that morality has an objective basis in the mathematical object describing the "tit for tat" game theory. To play the game, a contractual obligation is freely made to cooperate and to fairly distribute the gains. Failure to meet these obligations results in social punishment.

A new translation and edition of Aristotle's Protrepticus (with critical comments on the fragments) -/- Welcome -/- The Protrepticus was an early work of Aristotle, written while he was still a member of Plato's Academy, but it soon became one of the most famous works in the whole history of philosophy. Unfortunately it was not directly copied in the middle ages and so did not survive in its own manuscript tradition. But substantial fragments of it have been preserved in several (...) works by Iamblichus of Chalcis, a third century A.D. neo-Pythagorean philosopher and educator. On the basis of a close study of Iamblichus' extensive use and excerption of Aristotle's Protrepticus, it is possible to reconstruct the backbone of the lost work, and then to flesh it out with the other surviving reports about the work from antiquity (for example in Alexander of Aphrodisias and other ancient commentators on Aristotle). It is also possible to identify several papyrus fragments of the work, and many references and literary allusions in later authors, especially Cicero, whose own lost dialogue Hortensius was a defense of philosophy modeleld on Aristotle's. (shrink)

The growth of self-tracking and personal surveillance has given rise to the Quantified Self movement. Members of this movement seek to enhance their personal well-being, productivity, and self-actualization through the tracking and gamification of personal data. The technologies that make this possible can also track and gamify aspects of our interpersonal, romantic relationships. Several authors have begun to challenge the ethical and normative implications of this development. In this article, we build upon this work to provide a detailed ethical analysis (...) of the Quantified Relationship. We identify eight core objections to the QR and subject them to critical scrutiny. We argue that although critics raise legitimate concerns, there are ways in which tracking technologies can be used to support and facilitate good relationships. We thus adopt a stance of cautious openness toward this technology and advocate the development of a research agenda for the positive use of QR technologies. (shrink)

A dialogue in which Freya argues that conspiracy theories are illogical, but Orin is not so sure!

A dialogue in which Freya nan Max are determined to argue abut free will.

IntroductionAssociative theories of political obligation offer a fresh alternative to approaches such as social contract theory, fair play, and the natural duty of justice. Few suggestions in ethics are more intuitive than the idea that we have special obligations to our family and friends, just in virtue of our relationships with them, and it is reasonable that obligations to political society are also grounded through association.A basic question for associative theories is to explain how associations give rise to obligation, but (...) here there is a common error. Many associative theorists and their critics take this question to be equivalent to the question: what distinguishes associations that are morally acceptable from those that are not? The assumption is that associations which are morally acceptable are those that give rise to obligations. However, this assumption is wrong in two ways. Associations that have some unacceptable features may still give rise to obl .. (shrink)

Representing species-specific proteins and protein complexes in ontologies that are both human and machine-readable facilitates the retrieval, analysis, and interpretation of genome-scale data sets. Although existing protin-centric informatics resources provide the biomedical research community with well-curated compendia of protein sequence and structure, these resources lack formal ontological representations of the relationships among the proteins themselves. The Protein Ontology (PRO) Consortium is filling this informatics resource gap by developing ontological representations and relationships among proteins and their variants and modified forms. Because (...) proteins are often functional only as members of stable protein complexes, the PRO Consortium, in collaboration with existing protein and pathway databases, has launched a new initiative to implement logical and consistent representation of protein complexes. We describe here how the PRO Consortium is meeting the challenge of representing species-specific protein complexes, how protein complex representation in PRO supports annotation of protein complexes and comparative biology, and how PRO is being integrated into existing community bioinformatics resources. The PRO resource is accessible at http://pir.georgetown.edu/pro/. (shrink)

Objective: There are benefits and risks of giving patients more granular control of their personal health information in electronic health record (EHR) systems. When designing EHR systems and policies, informaticists and system developers must balance these benefits and risks. Ethical considerations should be an explicit part of this balancing. Our objective was to develop a structured ethics framework to accomplish this. -/- Methods: We reviewed existing literature on the ethical and policy issues, developed an ethics framework called a “Points to (...) Consider” (P2C) document, and convened a national expert panel to review and critique the P2C. -/- Results: We developed the P2C to aid informaticists designing an advanced query tool for an electronic health record (EHR) system in Indianapolis. The P2C consists of six questions (“Points”) that frame important ethical issues, apply accepted principles of bioethics and Fair Information Practices, comment on how questions might be answered, and address implications for patient care. -/- Discussion: The P2C is intended to clarify whatis at stake when designers try to accommodate potentially competing ethical commitments and logistical realities. The P2C was developed to guide informaticists who were designing a query tool in an existing EHR that would permit patient granular control. While consideration of ethical issues is coming to the forefront of medical informatics design and development practices, more reflection is needed to facilitate optimal collaboration between designers and ethicists. This report contributes to that discussion. (shrink)

This paper focuses on invasive therapeutic procedures, defined as procedures requiring the introduction of hands, instruments, or devices into the body via incisions or punctures of the skin or mucous membranes performed with the intent of changing the natural history of a human disease or condition for the better. Ethical and methodological concerns have been expressed about studies designed to evaluate the effects of invasive therapeutic procedures. Can such studies meet the same standards demanded of those, for example, evaluating pharmaceutical (...) agents? This paper describes a research project aimed at examining the interplay and sometimes apparent conflict between ethical standards for human research and standards for methodological rigor in trials of invasive procedures. The paper discusses how the authors plan to develop a set of consensus standards that, if met, would result in substantial and much-needed improvements in the methodological and ethical quality of such trials. (shrink)

In which Max is horrified that 50% of American college students think their eyes illuminate the world. Orin thinks they may be on to something. Meanwhile, Freya is entranced by an expensive array of colored circles.

Similarity-based cognition is commonplace. It occurs whenever an agent or system exploits the similarities that hold between two or more items—e.g., events, processes, objects, and so on—in order to perform some cognitive task. This kind of cognition is of special interest to cognitive neuroscientists. This paper explicates how similarity-based cognition can be understood through the lens of radical enactivism and why doing so has advantages over its representationalist rival, which posits the existence of structural representations or S-representations. Specifically, it is (...) argued that there are problems both with accounting for the content of S-representations and with understanding how neurally-based structural similarities can work as representations in guiding intelligent behavior. Finally, with these clarifications in place, it is revealed how radical enactivism can commit to an account of similarity-based cognition in its understanding of neurodynamics. (shrink)

“I will show you fear in a handful of dust” (T. S. Eliot: The Wasteland) -/- How can dust and water become a conscious living person capable of fear? The way these elements are transformed into life is sketched out, but it's our conscious minds, our intensity of being in a flood of emotions; this is the big problem that science has so far failed to explain. Freya, a biologist, is dissatisfied with the way evolution has no explanation for her (...) own self. Instead, science treats people as robots with any self-awareness considered an illusion. In this way, it destroys our humanity. Max explains that given the chemical basis of life, this is the only possible conclusion. On the brink of accepting this unpalatable fact, she meets with Orin. Together they explore the unthinkable, that the basis of consciousness and self is present in the underlying operations of the universe. These skilfully constructed dialogues explain how the process philosophy of Alfred North Whitehead and panpsychism (primordial universal consciousness) can explain the evolution of not only bodies but also of life, self and consciousness. (shrink)

Atualmente, biotecnologias são empregadas na forma de protocolos a fim de sincronizar o crescimento folicular e a ovulação, bem como permitir que vacas atuem como receptoras de embriões visando melhorar o potencial genético do rebanho. O objetivo desse estudo foi avaliar o efeito da utilização de implantes intravaginais de progesterona de 1º, 2º e 3º uso no protocolo de transferência de embriões em tempo fixo (TETF) sobre a taxa de prenhez em receptoras girolandas. O experimento ocorreu em uma fazenda localizada (...) no município de São Sebastião do Maranhão (MG). Foram utilizadas 74 vacas submetidas aos seguintes protocolos: No dia 0 (D0) administrou-se 2 ml de 17β-Estradiol e progesterona e foi colocado o implante intravaginal de progesterona. Estes implantes foram colocados de forma aleatória, sendo de 1° uso (grupo 1; n=15), 2° (grupo 2; n=24) ou 3° (grupo 3; n=35).No D8, os implantes foram retirados e administrou-se 2 ml PGF2α; 1,5 ml de eCG e 1 ml de 17β-Estradiol e progesterona. A inovulação dos embriões in vitroo correu no D (16) para todas as vacas que apresentaram um corpo lúteo. As variáveis qualitativas (prenhe ou não prenhe) foram comparadas em tabelas de contingência e analisadas pelo teste de qui-quadrado a 5% de probabilidade. Neste estudo não houve diferença estatística entre os grupos protocolados em relação ao aproveitamento como receptoras: 1º uso (53,3%), 2º (79,2%) e 3º (68,65). Ademais, observou-se uma taxa de prenhez entre os grupos de 37,5% para o 1º uso, 42,1% para o 2º e 33,3% para o 3º (P>0,05). Dentre as vantagens ao reaproveitamento dos implantes multiusos destaca-se a redução dos custos dos protocolos hormonais, já que a progesterona é o hormônio mais oneroso, desta forma, a maximização do uso reduz o valor final do protocolo sem prejuízos a taxa de prenhez. (shrink)

In this paper I show that we have strong empirical and theoretical reasons to treat the verbs we use in our semantic theorizing—particularly ‘refers to ’, ‘applies to ’, and ‘is true of ’—as intensional transitive verbs. Stating our semantic theories with intensional vocabulary allows us to partially reconcile two competing approaches to the nature and subject-matter of semantics: the Chomskian approach, on which semantics is non-relational, internalistic, and concerns the psychology of language users, and the Lewisian approach, on which (...) semantics is fully relational, specifies truth-conditions, and has metaphysical implications. ITVs have two readings: an intensional, de dicto reading, and a relational, de re reading. A semantic theory stated with the de dicto readings of our semantic verbs captures the core insights of the Chomskian approach to semantics, in part because it allows us to assign extremely fine-grained semantic values to expressions, even when those expressions are empty. On the other hand, the de re reading yields a theory that is fully relational, and issues in truth-conditions. The resulting theories are related—and compatible—in that they are expressed by two different readings of the very same semantic vocabulary, and plausibly, the distinction between these two readings is one of scope. (shrink)

The role of certitude in our mental lives is, to put it mildly, controversial. Many current epistemologists (including epistemologists of religion) eschew certitude altogether. Given his emphasis on certitude, some have maintained that John Henry Newman was an infallibilist about knowledge. In this paper, we argue that a careful examination of his thought (especially as seen in the Grammar of Assent) reveals that he was an epistemic fallibilist. We first clarify what we mean by fallibilism and infallibilism. Second, we explain (...) why some have read Newman as an infallibilist. Third, we offer two arguments that Newman is at least a fallibilist in a weak sense. In particular, the paradox he seeks to resolve in the Grammar and his dispute with John Locke both indicate that he is at least a weak fallibilist. We close with a consideration of whether Newman is a fallibilist in a much stronger sense as well. (shrink)

The Protein Ontology (PRO; http://purl.obolibrary.org/obo/pr) formally defines and describes taxon-specific and taxon-neutral protein-related entities in three major areas: proteins related by evolution; proteins produced from a given gene; and protein-containing complexes. PRO thus serves as a tool for referencing protein entities at any level of specificity. To enhance this ability, and to facilitate the comparison of such entities described in different resources, we developed a standardized representation of proteoforms using UniProtKB as a sequence reference and PSI-MOD as a post-translational modification (...) reference. We illustrate its use in facilitating an alignment between PRO and Reactome protein entities. We also address issues of scalability, describing our first steps into the use of text mining to identify protein-related entities, the large-scale import of proteoform information from expert curated resources, and our ability to dynamically generate PRO terms. Web views for individual terms are now more informative about closely-related terms, including for example an interactive multiple sequence alignment. Finally, we describe recent improvement in semantic utility, with PRO now represented in OWL and as a SPARQL endpoint. These developments will further support the anticipated growth of PRO and facilitate discoverability of and allow aggregation of data relating to protein entities. (shrink)

It is the ambition of natural science to provide complete explanations of reality. Collingwood argues that science can only explain events, not actions. The latter is the distinctive subject matter of history and can be described as actions only if they are explained historically. This paper explains Collingwood’s claim that the distinctive subject matter of history is actions and why the attempt to capture this subject matter through the method of science inevitably ends in failure because science explains events, not (...) actions. It argues that Collingwood’s defence of the methodological autonomy of history vis-à-vis natural science is not based on a commitment to human exceptionalism, i.e. the exclusion of human beings and their doings from the rest of nature, but on the view that explanations which appeal to norms are different in kind from explanations which appeal to empirical regularities. Given the close relationship between the method and the subject matter of a form of inquiry, actions elude any attempt to explain them through the scientific method because the application of this method entails that what is thus explained is not an action but an event. (shrink)

Philosophers have rightly condemned lookism—that is, discrimination in favor of attractive people or against unattractive people—in education, the justice system, the workplace and elsewhere. Surprisingly, however, the almost universal preference for attractive romantic and sexual partners has rarely received serious ethical scrutiny. On its face, it’s unclear whether this is a form of discrimination we should reject or tolerate. I consider arguments for both views. On the one hand, a strong case can be made that preferring attractive partners is bad. (...) The idea is that choosing partners based on looks seems essentially similar to other objectionable forms of discrimination. (In particular, the preference for attractive partners is arguably both unfair and harmful to a significant degree.) One can try to resist this conclusion in several ways. I consider three possible replies. The first has to do with the possibility of controlling our partner preferences. The second pertains to attractiveness and “good genes”. The last attempts to link certain aspects of attractiveness to a prospective partner’s personality and values. I argue that the first two replies fail conclusively, while the third only amounts to a limited defense of a particular kind of attractiveness preference. So the idea that we should often avoid preferring attractive partners is compelling. (shrink)

This Study has covered Post Graduate Students of four University of Gujarat State including Sardar Patel University, M. S. University, Gujarat University and DDIT University. The data collected from 400 P G Students 100 students from each university for the study under the research design of descriptive cum exploratory in nature. The Questionnaire is used for this research consists of 50 Questions. As a Consideration of that the youth or students are the future for any nation so level of understanding (...) of youth about human rights is very important to know. If human rights knowledge is not up to mark among youth or students, it's a serious issue for the youth and nation as well. As a Social Worker, to maintain equality, non discrimination, protection and development is a mission. So, Human Rights is a one of the best weapon to all social worker to achieve main goals as mentioned before. Mehul Rabari | Dr. S. D. Mishra "Youth and Human Rights - A Research Study among University Student" Published in International Journal of Trend in Scientific Research and Development (ijtsrd), ISSN: 2456-6470, Volume-1 | Issue-1 , December 2016, . (shrink)

There are a number of important links and similarities between public health and safety. In this extended essay, Gregg D. Caruso defends and expands his public health-quarantine model, which is a non-retributive alternative for addressing criminal behavior that draws on the public health framework and prioritizes prevention and social justice. In developing his account, he explores the relationship between public health and safety, focusing on how social inequalities and systemic injustices affect health outcomes and crime rates, how poverty affects brain (...) development, how offenders often have pre-existing medical conditions (especially mental health issues), how involvement in the criminal justice system itself can lead to or worsen health and cognitive problems, how treatment and rehabilitation methods can best be employed to reduce recidivism and reintegrate offenders back into society, and how a public health approach could be successfully applied within the criminal justice system. Caruso's approach draws on research from the health sciences, social sciences, public policy, law, psychiatry, medical ethics, neuroscience, and philosophy, and he delivers a set of ethically defensible and practically workable proposals for implementing the public health-quarantine model. The essay begins by discussing recent empirical findings in psychology, neuroscience, and the social sciences that provide us with an increased understanding of the social and neurological determinants of health and criminal behavior. It then turns to Caruso's public health-quarantine model and argues that the model provides the most justified, humane, and effective approach for addressing criminal behavior. Caruso concludes by proposing a capability approach to social justice grounded in six key features of human well-being. He argues that we cannot successfully address concerns over public health and safety without simultaneously addressing issues of social justice—including the social determinants of health (SDH) and the social determinants of criminal behavior (SDCB)—and he recommends eight general policy proposals consistent with his model. (shrink)

This article is a preliminary presentation of conjunctive paraconsistency, the claim that there might be non-explosive true contradictions, but contradictory propositions cannot be considered separately true. In case of true ‘p and not p’, the conjuncts must be held untrue, Simplification fails. The conjunctive approach is dual to non-adjunctive conceptions of inconsistency, informed by the idea that there might be cases in which a proposition is true and its negation is true too, but the conjunction is untrue, Adjunction fails. While (...) non-adjunctivism is a well-known option, the other view is not so much studied nowadays, but it was not unknown in the tradition, and there are some positive suggestions, in recent literature, that the position is plausible and deserves to be developed. The article compares conjunctivism, non-adjunctivism and dialetheism, then focuses on some possible justifications, costs and benefits of the conjunctive view. (shrink)

In this paper, we focus on whether and to what extent we judge that people are responsible for the consequences of their forgetfulness. We ran a series of behavioral studies to measure judgments of responsibility for the consequences of forgetfulness. Our results show that we are disposed to hold others responsible for some of their forgetfulness. The level of stress that the forgetful agent is under modulates judgments of responsibility, though the level of care that the agent exhibits toward performing (...) the forgotten action does not. We argue that this result has important implications for a long-running debate about the nature of responsible agency. (shrink)

In this paper, I develop and defend a new adverbial theory of perception. I first present a semantics for direct-object perceptual reports that treats their object positions as supplying adverbial modifiers, and I show how this semantics definitively solves the many-property problem for adverbialism. My solution is distinctive in that it articulates adverbialism from within a well-established formal semantic framework and ties adverbialism to a plausible semantics for perceptual reports in English. I then go on to present adverbialism as a (...) theory of the metaphysics of perception. The metaphysics I develop treats adverbial perception as a directed activity: it is an activity with success conditions. When perception is successful, the agent bears a relation to a concrete particular, but perception need not be successful; this allows perception to be fundamentally non-relational. The result is a novel formulation of adverbialism that eliminates the need for representational contents, but also treats successful and unsuccessful perceptual events as having a fundamental common factor. (shrink)

Within the United States, the most prominent justification for criminal punishment is retributivism. This retributivist justification for punishment maintains that punishment of a wrongdoer is justified for the reason that she deserves something bad to happen to her just because she has knowingly done wrong—this could include pain, deprivation, or death. For the retributivist, it is the basic desert attached to the criminal’s immoral action alone that provides the justification for punishment. This means that the retributivist position is not reducible (...) to consequentialist considerations nor in justifying punishment does it appeal to wider goods such as the safety of society or the moral improvement of those being punished. A number of sentencing guidelines in the U.S. have adopted desert as their distributive principle, and it is increasingly given deference in the “purposes” section of state criminal codes, where it can be the guiding principle in the interpretation and application of the code’s provisions. Indeed, the American Law Institute recently revised the Model Penal Code so as to set desert as the official dominate principle for sentencing. And courts have identified desert as the guiding principle in a variety of contexts, as with the Supreme Court’s enthroning retributivism as the “primary justification for the death penalty.” While retributivism provides one of the main sources of justification for punishment within the criminal justice system, there are good philosophical and practical reasons for rejecting it. One such reason is that it is unclear that agents truly deserve to suffer for the wrongs they have done in the sense required by retributivism. In the first section, I explore the retributivist justification of punishment and explain why it is inconsistent with free will skepticism. In the second section, I then argue that even if one is not convinced by the arguments for free will skepticism, there remains a strong epistemic argument against causing harm on retributivist grounds that undermines both libertarian and compatibilist attempts to justify it. I maintain that this argument provides sufficient reason for rejecting the retributive justification of criminal punishment. I conclude in the third section by briefly sketching my public health-quarantine model, a non-retributive alternative for addressing criminal behavior that draws on the public health framework and prioritizes prevention and social justice. I argue that the model is not only consistent with free will skepticism and the epistemic argument against retributivism, it also provides the most justified, humane, and effective way of dealing with criminal behavior. (shrink)

Traditionally, Aristotle is held to believe that philosophical contemplation is valuable for its own sake, but ultimately useless. In this volume, Matthew D. Walker offers a fresh, systematic account of Aristotle's views on contemplation's place in the human good. The book situates Aristotle's views against the background of his wider philosophy, and examines the complete range of available textual evidence. On this basis, Walker argues that contemplation also benefits humans as perishable living organisms by actively guiding human life activity, including (...) human self-maintenance. Aristotle's views on contemplation's place in the human good thus cohere with his broader thinking about how living organisms live well. A novel exploration of Aristotle's views on theory and practice, this volume will interest scholars and students of both ancient Greek ethics and natural philosophy. It will also appeal to those working in other disciplines including classics, ethics, and political theory. (shrink)

According to a widespread view in metaphysics and philosophy of science, all explanations involve relations of ontic dependence between the items appearing in the explanandum and the items appearing in the explanans. I argue that a family of mathematical cases, which I call “viewing-as explanations”, are incompatible with the Dependence Thesis. These cases, I claim, feature genuine explanations that aren’t supported by ontic dependence relations. Hence the thesis isn’t true in general. The first part of the paper defends this claim (...) and discusses its significance. The second part of the paper considers whether viewing-as explanations occur in the empirical sciences, focusing on the case of so-called fictional models. It’s sometimes suggested that fictional models can be explanatory even though they fail to represent actual worldly dependence relations. Whether or not such models explain, I suggest, depends on whether we think scientific explanations necessarily give information relevant to intervention and control. Finally, I argue that counterfactual approaches to explanation also have trouble accommodating viewing-as cases. (shrink)

One of the most frequently voiced criticisms of free will skepticism is that it is unable to adequately deal with criminal behavior and that the responses it would permit as justified are insufficient for acceptable social policy. This concern is fueled by two factors. The first is that one of the most prominent justifications for punishing criminals, retributivism, is incompatible with free will skepticism. The second concern is that alternative justifications that are not ruled out by the skeptical view per (...) se face significant independent moral objections (Pereboom 2014: 153). Despite these concerns, I maintain that free will skepticism leaves intact other ways to respond to criminal behavior—in particular incapacitation, rehabilitation, and alteration of relevant social conditions—and that these methods are both morally justifiable and sufficient for good social policy. The position I defend is similar to Derk Pereboom’s (2001, 2013, 2014), taking as its starting point his quarantine analogy, but it sets out to develop the quarantine model within a broader justificatory framework drawn from public health ethics. The resulting model—which I call the public health-quarantine model (Caruso 2016, 2017a)—provides a framework for justifying quarantine and criminal sanctions that is more humane than retributivism and preferable to other non-retributive alternatives. It also provides a broader approach to criminal behavior than Pereboom’s quarantine analogy does on its own since it prioritizes prevention and social justice. -/- In Section 1, I begin by (very) briefly summarizing my arguments against free will and basic desert moral responsibility. In Section 2, I then introduce and defend my public health-quarantine model, which is a non-retributive alternative to criminal punishment that prioritizes prevention and social justice. In Sections 3 and 4, I take up and respond to two general objections to the public health-quarantine model. Since objections by Michael Corrado (2016), John Lemos (2016), Saul Smilanksy (2011, 2017), and Victor Tadros (2017) have been addressed in detail elsewhere (see Pereboom 2017a; Pereboom and Caruso 2018), I will here focus on objections that have not yet been addressed. In particular, I will respond to concerns about proportionality, human dignity, and victims’ rights. I will argue that each of these concerns can be met and that in the end the public health-quarantine model offers a superior alternative to retributive punishment and other non-retributive accounts. (shrink)

The verb 'imagine' admits of perspectival modification: we can imagine things from above, from a distant point of view, or from the point of view of a Russian. But in such cases, there need be no person, either real or imagined, who is above or distant from what is imagined, or who has the point of view of a Russian. We call this the puzzle of perspectival displacement. This paper sets out the puzzle, shows how it does not just concern (...) language, but also states of imagining themselves, and then presents a solution. The solution draws on the idea that many reports of imagining conceal a distinctive kind of question, and such concealed questions have an extra argument place for (what we will call) an experiencer from whose perspective things are imagined. This solution has a range of advantages over other proposals in the literature, and helps to advance two debates concerning perspectival engagement with fiction. (shrink)

We discuss potential biorisks from large language models (LLMs). AI assistants based on LLMs such as ChatGPT have been shown to significantly reduce barriers to entry for actors wishing to synthesize dangerous, potentially novel pathogens and chemical weapons. The harms from deploying such bioagents could be further magnified by AI-assisted misinformation. We endorse several policy responses to these dangers, including prerelease evaluations of biomedical AIs by subject-matter experts, enhanced surveillance and lab screening procedures, restrictions on AI training data, and access (...) controls on biomedical AI. We conclude with a suggestion about future research directions in bioethics. (shrink)

Susan Schneider (2019) has proposed two new tests for consciousness in AI (artificial intelligence) systems, the AI Consciousness Test and the Chip Test. On their face, the two tests seem to have the virtue of proving satisfactory to a wide range of consciousness theorists holding divergent theoretical positions, rather than narrowly relying on the truth of any particular theory of consciousness. Unfortunately, both tests are undermined in having an ‘audience problem’: Those theorists with the kind of architectural worries that motivate (...) the need for such tests should, on similar grounds, doubt that the tests establish the existence of genuine consciousness in the AI in question. Nonetheless, the proposed tests constitute progress, as they could find use by some theorists holding fitting views about consciousness and perhaps in conjunction with other tests for AI consciousness. (shrink)

Prior’s puzzle is standardly taken to be the puzzle of why, given the assumption that that-clauses denote propositions, substitution of “the proposition that P” for “that P” within the complements of many propositional attitude verbs is invalid. I show that Prior’s puzzle is much more general than is ordinarily supposed. There are two variants on the substitutional form of the puzzle—a quantificational variant and a pronominal variant—and all three forms of the puzzle arise in a wide range of grammatical positions, (...) rather than merely in the complements of propositional attitude verbs. The generalized puzzle shows that a range of proposed solutions to the original puzzle fail, or are radically incomplete, and also reveals the connections between Prior’s puzzle and debates over the nature of semantic types and higher-order quantification. I go on to develop a novel, higher-order solution to the generalized form of the puzzle, and I argue that this higher-approach is superior to its first-order alternatives. (shrink)

Ramsification is a well-known method of defining theoretical terms that figures centrally in a wide range of debates in metaphysics. Prior's puzzle is the puzzle of why, given the assumption that that-clauses denote propositions, substitution of "the proposition that P" for "that P" within the complements of many propositional attitude verbs sometimes fails to preserve truth, and other times fails to preserve grammaticality. On the surface, Ramsification and Prior's puzzle appear to have little to do with each other. But Prior's (...) puzzle is much more general than is ordinarily appreciated, and Ramsification requires a solution to the generalized form of Prior's puzzle. Without such a solution, a wide range of theories will either fail to imply their Ramsey sentences, or have Ramsey sentences that are ill-formed. As a consequence, definitions of theoretical terms given using the Ramsey sentence will be either incorrect or nonsensical. I present a partial solution to the puzzle that requires making use of a neo-Davidsonian language for scientific theorizing, but the would-be Ramsifier still faces serious challenges. (shrink)

Multidimensional adjectives are ubiquitous in natural language. An adjective F is multidimensional just in case whether F applies to an object or pair of objects depends on how those objects stand with respect to multiple underlying dimensions of F-ness. Developing a semantics for multidimensional adjectives requires us to address the problem of dimensional aggregation: how do the application conditions of an adjective F in its positive and comparative forms depend on its underlying dimensions? Here we develop a semantics for multidimensional (...) adjectives that incorporates aggregation functions. We then explore an analogy between dimensional aggregation and preference aggregation, bringing results from social choice theory to bear on the number and kind of aggregation functions that are admissible in a context. These results suggest that, for any given adjective, there will often be multiple aggregation functions admissible, meaning that multidimensional comparatives are often vague. (shrink)

Mathematicians distinguish between proofs that explain their results and those that merely prove. This paper explores the nature of explanatory proofs, their role in mathematical practice, and some of the reasons why philosophers should care about them. Among the questions addressed are the following: what kinds of proofs are generally explanatory (or not)? What makes a proof explanatory? Do all mathematical explanations involve proof in an essential way? Are there really such things as explanatory proofs, and if so, how do (...) they relate to the sorts of explanation encountered in philosophy of science and metaphysics? (shrink)